#TeamSWIZA : Portrait de Pascal, au cœur de la R&D de SWIZA

Pascal occupe un poste clé dans le développement produit. Son quotidien ? Dessiner les prototypes fonctionnels des nouveaux outils, tester leur intégration dans le corps du couteau, assurer leur faisabilité avant la production. “Je ne fais pas du design au sens esthétique, mais je m’assure que tout fonctionne : que la lame se ferme, que l’outil rentre bien par exemple.”

Ancien de chez Wenger, il a rejoint SWIZA en 2019, appelé par un ancien collègue impliqué dans l’aventure SWIZA. "C’était 6 mois avant le COVID, un sacré timing."

Pascal a notamment participé à la mise au point de deux collections majeures : URBEX, pensé pour les explorateurs urbains et outdoor modernes, et LEGACIES, vitrine du savoir-faire suisse fusionnant design horloger et ingénierie coutelière.

Aujourd’hui, il travaille sur de futurs projets, sur des collaborations, ou sur des améliorations et création de nouveaux outils. “Parfois, les idées restent au stade de prototype, parfois elles se concrétisent. On avance étape par étape.”

Une synergie précieuse avec l’atelier et la direction produit
Travailler chez SWIZA, c’est aussi collaborer en circuit court avec des équipes locales. Le bureau technique – composé de deux personnes – fonctionne en interaction avec l’atelier et les bureaux techniques des entreprises partenaires.

Les projets sur lesquels travaille Pascal mobilisent des technologies de pointe comme le BIOROC, un composite biosourcé ultra-résistant, ou le VULCARBONE, un caoutchouc high-tech développé par BIWI. Ces matériaux permettent à SWIZA d’innover tout en gardant un ancrage fort dans l’Arc jurassien, creuset des savoir-faire horlogers et couteliers.

“Une idée peut venir de n’importe où : du bureau, d’un client, d’un ambassadeur… On teste, on ajuste, on imprime en 3D pour vérifier, puis on passe à l’acier.” Pascal évoque des étapes parfois semées d’échecs (“parfois ça casse, parfois ça passe”), mais toujours enrichissantes.

En parallèle de SWIZA, Pascal est aussi cofondateur d’un magasin de sport spécialisé dans le running, le vélo et les sports d’hiver. “Le matin, je suis chez SWIZA, concentré sur la conception. L’après-midi, je bouge plus et je suis en contact avec la clientèle.”

Ce double rôle est rendu possible grâce à une flexibilité exemplaire chez SWIZA : “C’est une vraie force. Cela m’apporte un équilibre personnel, et je suis plus motivé et concentré.” Être sur le terrain, au contact des clients, nourrit aussi son travail en R&D : “On peut faire tous les tests en labo, mais rien ne vaut l’usage réel par l’utilisateur.”

Ce qui motive Pascal ? Les défis techniques. “Je déteste m’ennuyer. Trouver des solutions, c’est ce qui me stimule. Parfois je rentre chez moi avec une idée non résolue, et c’est en buvant une bière que j’ai une illumination.” Une façon bien à lui de faire rimer rigueur suisse et créativité.

Travailler chez SWIZA, pour Pascal, c’est plus qu’un job. C’est perpétuer un savoir-faire suisse unique, hérité de l’époque Wenger, dans une entreprise à taille humaine. “Il n’y a que deux fabricants de couteaux suisses de poche au monde. En faire partie, c’est une vraie fierté.”
Il préfère les finitions Allblack ou mates, et les côtes en bois pour leur aspect authentique et écoresponsable. Et son idée folle de couteau ? “Un briquet intégré qui fonctionne partout, sans gaz.”

Pascal résume bien l’esprit SWIZA : “On n’invente rien d’extrêmement révolutionnaire, mais on améliore, on adapte, on rend faisable. Comme avec le tire-tique, un outil existant qu’on a réussi à intégrer intelligemment.”

Humaine. Locale. Innovante.
Des valeurs incarnées chaque jour par des collaborateurs passionnés, comme lui.

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